Un petit recueil de moments choisis parmi mes expériences passées...
Dans mon ancien immeuble...
Mes débuts se passèrent dans mon immeuble. L'exploration des lieux en tenue d'Adam et à différentes heures de la nuit, à passer le plus silencieusement possible devant la porte de chez mes voisins, fut une première épreuve. Il m'a fallu plusieurs tentatives pour oser dépasser le seul de ma porte, puis de monter ou descendre un étage. Repousser le plus longtemps possible son envie de courir se réfugier chez soi était une expérience mémorable.
Prendre l'ascensceur fut aussi une expérience. Bruyant, donc risque de réveiller les gens, et on ne sait jamais si l'on va tomber sur quelqu'un une fois que la porte s'ouvre!...
Descendre les escaliers et se cacher près des caves ou près de la buanderie commune, attendre volontairement que quelqu'un passe par là, et une fois qu'il (ou elle) est là, l'attente interminable, presque intolérable, que la voie soit à nouveau libre, espérer que le quelqu'un n'ait pas la fâcheuse idée de venir dans votre direction et vous débusque, de devoir rester le plus silencieux possible afin de ne pas attirer l'attention, espérer que vous n'allez pas éternuer, et imaginer la gêne, la honte auquels vous devriez faire face si l'on venait à vous surprendre...
Le stress était pareil quelle que soit la personne à proximité. Que ce soit un grand-père ou une grand-mère, une jeune femme ou un jeune homme, beaux ou moches, c'était égal. C'est la situation qui donnait tout l'attrait à ces défis. Je précise que je réalisais ces défis à des heures où les enfants dorment depuis longtemps.
Dans mon ancien quartier...
Passer devant tant de fenêtres de maisons, de chambres à coucher que vous savez occupées... Qui se cache derrière ces rideaux? Qui regarde le clair de lune et pourrait vous appercevoir? Sur ce chemin, qu'est-ce qui vous garantit que vous ne croiserez personne, même aussi tard?
J'ai autrefois parcouru à quelques occasions mon quartier dans une zone résidentielle, toujours de nuit. En vrac, quelques expériences qui m'ont laissé de bons souvenirs:...
- J'ai attendu caché derrière des véhicules parqués, pour trouver le bon moment pour traverser une place centrale complètement à découvert sur une centaine de mètres, tous les sens en éveil à écouter les véhicules en approche, à scruter les alentours.
- Je marchais à découvert dans une ruelle lorsque j'ai entendu une portière de voiture claquer et un moteur démarrer. J'ai eu juste le temps de me cacher sous un porche, tout juste évité de me faire éclairer par les phares. Toujours dans cette ruelle, j'ai déclenché par mégarde plusieurs éclairages automatiques, et donc aurais été bien visible
- En contrebas d'un talus sur une route principale, caché uniquement par l'obscurité, j'ai laissé passer plusieurs véhicules qui sont passé à quelques mètres de moi.
- Je devais traverser une rue mais le trafic devenait plus fréquent. J'ai dû trouver en toute hâte un buisson à peine fourni pour me cacher. Je n'ai pas été remarqué simplement car les automobilistes étaient concentrés sur la route et non sur ses abords.
- Je suis allé une fois en campagne, et ai marché sur une petite route bordée par de grandes prairies herbeuses sur plusieurs centaines de mètres. Je n'aurais eu aucun moyen de me cacher.
La nudité, un tabou pour moi. Et pourtant je me lance des défis: me retrouver loin de tout vêtement dans un lieu potentiellement fréquenté, sans possibilité immédiate de me cacher. Prendre le risque de me faire voir,... sans me faire voir!...
mercredi 16 septembre 2009
jeudi 27 août 2009
Défis et sexualité
Je ne vais pas prétendre qu’il n’y a aucun lien entre sexualité et ces défis. Personnellement, jamais je n’ai eu d’érection pendant un de ces défis, même à proximité de femmes, mais j’ai bien conscience que la limite est mince.
Oui je l’avoue, je préférerais me faire surprendre par une jolie femme qui le prendrait à la rigolade ce qui aiderait à atténuer ma gêne, que par une vieille mémé grincheuse et agressive. Je crois que tout est une question de limites que l’on s’impose. Je ne me ferai jamais surprendre volontairement, et même si une jolie femme venait à me voir, je serais mortifié, honteux, et me cacherai malgré tout du mieux que je peux!
Mon scénario idéal est de trouver une femme, mariée ou en couple, jolie si possible, et nous lancer des défis mutuels, dans un premier temps chacun de son côté.
Pourquoi jolie me direz-vous? Je ne veux pas être hypocrite et oser affirmer que je ne prendrai aucun plaisir à admirer ses formes (malheureusement le plaisir risque de ne pas être partagé!). Oui, j’aime les corps féminins, mais ce qui me plairait davantage encore est de voir, de ressentir le stress de cette jolie femme qui réaliserait ces défis, et risquerait de dévoiler son intimité à un public plus large.
Me mettre à nu volontairement devant une femme conscentente, jolie de surcroit, avec qui je n’ai aucune intention d’aller plus loin serait un nouveau défi en soi, et je pense que pour elle de faire pareil serait aussi un défi. Le fait de garder nos distances et de ne pas franchir le pas de la sexualité entre nous entretient cette ambigüité de la situation. Deux personnes non intimes, pudiques de surcroit, se retrouvant nues ensemble pour des défis un peu fous… Raison suffisante à mes yeux pour garder chacun ses distances.
Et de plus, croyez-le ou non, tromper ma copine, ou inciter une femme à tromper son conjoint est incompatible avec mon mode de vie et mes convictions profondes. Ne faites pas au autres ce que vous ne voudirez pas que l’on vous fasse…
Oui je l’avoue, je préférerais me faire surprendre par une jolie femme qui le prendrait à la rigolade ce qui aiderait à atténuer ma gêne, que par une vieille mémé grincheuse et agressive. Je crois que tout est une question de limites que l’on s’impose. Je ne me ferai jamais surprendre volontairement, et même si une jolie femme venait à me voir, je serais mortifié, honteux, et me cacherai malgré tout du mieux que je peux!
Mon scénario idéal est de trouver une femme, mariée ou en couple, jolie si possible, et nous lancer des défis mutuels, dans un premier temps chacun de son côté.
Pourquoi jolie me direz-vous? Je ne veux pas être hypocrite et oser affirmer que je ne prendrai aucun plaisir à admirer ses formes (malheureusement le plaisir risque de ne pas être partagé!). Oui, j’aime les corps féminins, mais ce qui me plairait davantage encore est de voir, de ressentir le stress de cette jolie femme qui réaliserait ces défis, et risquerait de dévoiler son intimité à un public plus large.
Me mettre à nu volontairement devant une femme conscentente, jolie de surcroit, avec qui je n’ai aucune intention d’aller plus loin serait un nouveau défi en soi, et je pense que pour elle de faire pareil serait aussi un défi. Le fait de garder nos distances et de ne pas franchir le pas de la sexualité entre nous entretient cette ambigüité de la situation. Deux personnes non intimes, pudiques de surcroit, se retrouvant nues ensemble pour des défis un peu fous… Raison suffisante à mes yeux pour garder chacun ses distances.
Et de plus, croyez-le ou non, tromper ma copine, ou inciter une femme à tromper son conjoint est incompatible avec mon mode de vie et mes convictions profondes. Ne faites pas au autres ce que vous ne voudirez pas que l’on vous fasse…
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